Jeudi 19 février à 19h00 les joyeux lurons de LOUD TV reçoivent Emma Zoldan et Nils Coubaron; les petits frenchies du groupe de metal sympho norvégien SIRENIA, dans le cadre de la sortie de leur nouvel album, Riddles, Ruins and Revelations .

En début de mois je vous faisais part du courrier que Ben Barbaud, patron du Hellfest adressait à la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot.
Ce courrier très circonstancié alertait la ministre sur l'urgence d'une réponse des pouvoirs publics quant à l'avenir très proche de festivals, festivals dont l'organisation s'étale sur plusieurs mois. 
Sans réponse claire, il parait inenvisageable de contacter groupes et artistes tant les coûts d'une annulation de presque dernière minute aurait un impact dramatique.
La ministre donnait rendez-vous le 15 février pour des réponses.

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Créé en 2008 par Marten van Kruijssen, le groupe néerlandais KORPSE œuvre dans un death metal tripal (non ! il n'y a pas de faute de frappe) gras, brutal et agressif.

Insufferable Violence est leur troisième album dont la sortie est prévue le 28 février, qui annonce un nouveau déferlement de fureur et d'agressivité.

J'avoue que question a priori je ne laisse pas ma part au chien et quand on me dit "metal sympho" je ressens vite des démangeaisons. 
Bon, il m'arrive parfois de me laisser aller à en écouter mais c'est rare, très rare.

Après avoir vu l'interview d'Emmanuelle Zoldan sur Loud TV, j'ai fait l'effort d'aller au delà des deux titres promos de leur nouvel album Riddles, Ruins and Revelations, et je ne le regrette pas.
SIRENIA m'a agréablement surprise.

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En 2002 ou 2003, ma mémoire me fait défaut, la chaîne d'actu de Canal +, "I-Télé" désormais remplacée par Info Facho, avait diffusé en pleine matinée un reportage sur le métal tunisien, sous le règne de Ben Ali renversé en 2011 par le Printemps arabe.
Bien que qualifié de dictatorial (à juste titre) le régime de Ben Ali marqua pourtant quelques avancées pour la société tunisienne, que ce soit dans le domaine religieux, celui du droit des femmes et celui de la musique.  Dont le Metal. Alors qu'au Maroc le port d'un t-shirt metal pouvait mener des ados en prison, qu'en Algérie cette musique de djinn était prohibée, le régime de Ben Ali la tolérait, allant jusqu'à organiser un festival annuel en plein Tunis. Liberté relative car les artistes devaient faire extrêmement attention aux paroles, mais par rapport aux autres pays du Maghreb la démarché était osée !

Qu'en est-il aujourd'hui ? C'est la question que pose Rock'n Folk dans ce reportage dédié au métal tunisien.