Jeudi 4 mars avec Loud TV dépaysement assuré avec le groupe tunisien NAWATHER qui répondait aux questions de Loud TV.

Fondé en 2013 initialement par le chanteur Roul Jelassi (ex Occulta) et et Hichem ben Amara (ex Melmoth et Occulta) . En 2014 la formation sera complète et en 2016 sort l'album Wasted Years.

Le 27 février dernier sortait leur nouvel album Kenz Illusion, toujours sous le label M&O Music.
Mixé par Frederik Nordström, Kenz Illusion allie les sonorités du metal occidental aux riches sonorités orientales.
Remplacé au chant par Ryma Nakkach et Wajdi Manai, Raoul Jelassi participe aux compositions.

Ryma et Saïf (drums) se sont pliés avec beaucoup d'humour à l'exercice pour parler de leur album et de leur musique, un métal tunisien qui affirme son identité.

Tandis que le nouvel album de MOONSPELL, Hermitage, sort ce jour dans les bacs, Fernando Ribeiro (vocals) se livre au micro de Loud TV et dévoile les coulisses d'un album qui devrait faire date dans la carrière du groupe.

 En ce jeudi 25 février de l'an de merde 2021, Joe reçevait les frenchies de CONVICTION pour la sortie de leur premier album (doom) et les Canadiens d'OBVURT pour la sortie de leur 1er EP (death).

Jeudi 19 février à 19h00 les joyeux lurons de LOUD TV reçoivent Emma Zoldan et Nils Coubaron; les petits frenchies du groupe de metal sympho norvégien SIRENIA, dans le cadre de la sortie de leur nouvel album, Riddles, Ruins and Revelations .

En 2002 ou 2003, ma mémoire me fait défaut, la chaîne d'actu de Canal +, "I-Télé" désormais remplacée par Info Facho, avait diffusé en pleine matinée un reportage sur le métal tunisien, sous le règne de Ben Ali renversé en 2011 par le Printemps arabe.
Bien que qualifié de dictatorial (à juste titre) le régime de Ben Ali marqua pourtant quelques avancées pour la société tunisienne, que ce soit dans le domaine religieux, celui du droit des femmes et celui de la musique.  Dont le Metal. Alors qu'au Maroc le port d'un t-shirt metal pouvait mener des ados en prison, qu'en Algérie cette musique de djinn était prohibée, le régime de Ben Ali la tolérait, allant jusqu'à organiser un festival annuel en plein Tunis. Liberté relative car les artistes devaient faire extrêmement attention aux paroles, mais par rapport aux autres pays du Maghreb la démarché était osée !

Qu'en est-il aujourd'hui ? C'est la question que pose Rock'n Folk dans ce reportage dédié au métal tunisien.