10 Décembre 2019
L'histoire de l'album Damnation est plutôt inhabituelle mais avec Opeth, faut-il s'en étonner ?
Mikael Akerfeldt, en 2002, planche sur l'écriture d'un nouvel album mais il souhaite aussi travailler sur d'anciens arrangements encore inexploités. Le chanteur de Katatonia, Jonas Renkse, lui suggère alors de sortir un album en 2 parties. Encore faut-il convaincre la maison de disque...
Mais si le premier premier album Deliverance sort fin 2002, Damnation sortira en avril 2003.
Avec cet album, on oublie la face death prog très présente sur le premier volet Deliverance dont Damnation est pourtant un pendant qui parait logique.
Cet album acoustique est une pure merveille musicale, une vraie perle d'émotion et de mélancolie, un album qu'on écoute dans le silence bruyant de ses pensées.
J'ai eu la chance de découvrir cet album en concert acoustique au Grand Café Bastille,concert durant lequel Mikael Akerfeldt a instauré un dialogue très intimiste avec nous, parlant de littérature, de sa fille et faisant de l'humour. Un superbe moment live et un bonheur musical !
Ma note : 19/20
Formation :
• Mikael Akerfeldt (guitares, chant)
• Peter Lindgren (guitares)
• Martin Mendez (basse)
• Martin Lopez (batterie)
• Stephen Wilson (piano,mellotron, voix additionnelles)
Et en prime une petite curiosité télévisuelle
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